DE VOUS AIEUX, en passant par moi !

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Mon grand-père paternel : Henri Désiré HIDIER (1889-1962)

Henri; Désiré HIDIER voit le jour le mercredi 31 juillet 1889 à Pouilly en Auxois (21320).
Il est le fils légitime de Désiré; Simon HIDIER, Géomètre / Photograveur, âgé de 35 ans et de Gabrielle ; "Henriette" MERCEY, Domestique, âgée de 27 ans.

Henri sera Employé de banque.

Il s'unit avec Germaine Eugénie DEGROUAS, vendeuse, la fille légitime d'Eugène Louis DEGROUAS et d'Ernestine Eugénie GUITTET.
Ce couple aura deux enfants :
- André; Henri né en 1919.
- Denise née en 1923.

Ils se marient le vendredi 21 janvier 1916 à Nanterre (92000).

Le 6 septembre 1919 naît son fils André. Henri est âgé de 30 ans.

Son père Désiré meurt le 7 juillet 1923, Henri est âgé de 33 ans.

Le 28 novembre 1923 naît sa fille Denise. Henri est âgé de 34 ans.

Sa mère Gabrielle meurt le 2 avril 1944, Henri est âgé de 54 ans.

Henri D. HIDIER est décédé le vendredi 5 janvier 1962, à l'âge de 72 ans, au Raincy (93340).


Carrière militaire :

Caporal infirmier au 146ème Régiment d'Infanterie, Classe 1909, Matricule 4087.
Incorporé à compter du 15 octobre 1910. Envoyé dans la disponibilité le 25 septembre 1912.
Rappelé à l'activité pour la Mobilisation Générale du 2 août 1914.
A participé à la campagne contre l'Allemagne du 1er Août 1914 au 15 avril 1919.
A été classé en "service auxiliaire" par la Commission de de réforme de Carcassonne du 5 novembre 1915.
Maintenu en "service auxiliaire" par la Commission de réforme de Carcassonne du 18 février 1916.
Classé "inapte provisoire" par la Commission de réforme de Carcassonne du 22 septembre 1917.
Classé "inapte définitif" à servir aux armées par la Commission de réforme de Carcassonne du 7 février 1918.
Versé dans l'armée territoriale le 1er octobre 1923 . Passé dans la réserve de l'armée territoriale et libéré  des obligations militaires le 1er octobre 1937.

S'il n'était plus au front à compter de fin avril 1915 en raison d'une fièvre thyhoïde, Henri n'en a pas moins poursuivi "sa guerre". Après être passé  à l'Hôpital Auxiliaire 203 basé aux Andelys, il sera tranfséré au service contagieux de l'hospice civil pour y être soigné.
Il sera versé ensuite au Petit Etat-Major de l'Ecole d'Application du Service de Santé Militaire de Castelnaudary dans l'Aude jusqu'en février 1918 date à laquelle il sera réformé.

Décoré de la Croix du Combattant.

 

 





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